Les vacances au musée !
Stages de pratiques artistiques
Mardi 9, Mercredi 10 et Jeudi 11 Avril 2024
Arbre onirique et symbolique
Stages de pratiques artistiques
Durée : 3 jours
10h00 – 12h00 : Stage enfants (6 – 12 ans)
14h00 – 17h00 : Stage adolescents et adultes
Inscription obligatoire pour les trois jours. Dans la limite des places disponibles.
Tarif du stage : entrée musée + 15 €/pers (pour les 3 jours)
Emma Shulman, artiste plasticienne, vous propose de découvrir l’arbre sous toutes ses formes !Au cours de ce stage, vous aborderez la condition de l’arbre face à l’humain. Dans sa représentation (racines, tronc, ramifications), nous avons une parenté symbolique avec lui. Il sera donc question de s’essayer à des techniques et des matériaux qui répondent à l’expérimentation de l’hommage à l’arbre.
Jeudi 18 et Vendredi 19 avril 2024
L’invitation au voyage…
Stages d’écriture
Durée : 2 jours
14h00 – 17h00 : Stage à partir de 7 ans, adolescents et adultes.
Inscription obligatoire pour les deux jours. Dans la limite des places disponibles.
Tarif du stage : entrée musée + 10 €/pers (pour les 2 jours)
L’invitation au voyage peut se nicher partout dans un musée, dans un tableau, un poème, une phrase, ou dans tout cela combiné. La mer, ses bateaux, ses voyages, ses traversées … Les pays lointains et les cultures évoquées dans les peintures ou les livres pauvres du musée sont autant de fenêtres offertes, d’occasions de plonger son regard vers l’inconnu, d’apercevoir d’autres réalités, ou de déclencher des vagues intarissables d’imaginaires, pour embarquer vers des aventures et des mondes entiers, depuis notre bord de mer.
INSCRIPTIONS :
04.99.04.76.11 mediationpaulvalery@ville-sete.fr
EXPOSITION EN COURS
23 mars – 26 mai 2024
PIERRE-LUC POUJOL « ARBORESCENCES »
Du 23 mars au 26 mai 2024, le musée Paul Valéry présente l’exposition « Pierre-Luc Poujol – Arborescences », réunissant un ensemble de plus de 70 peintures et sculptures sur bois. Situé au cœur du travail de Pierre-Luc Poujol, l’arbre n’est jamais dépeint ni traité de manière univoque. Il est au contraire investi par une puissance constante d’évolution formelle. Variant les techniques dripping, résille, toile délavée -, Pierre-Luc Poujol accentue les effets de décomposition propres à un motif qui est depuis longtemps caractéristique de la modernité : indissociable à ses débuts du genre du paysage avec quelques autres éléments, l’arbre a été souvent démembré en fragments sous l’effet du goût pour la vitesse et le mouvement. Mais, en raison des catastrophes naturelles entraînées par le changement climatique, le motif de l’arbre se charge aujourd’hui dans le travail de Pierre-Luc Poujol d’une dimension nouvelle, emblématique des menaces qui pèsent sur notre monde : de l’arbre aux couleurs triomphantes, situé entre abstraction et figuration, Pierre-Luc Poujol a évolué vers des formes de plus en plus déstructurées, utilise des fragments de végétaux au lieu de pinceaux et ajoute des matériaux naturels, tels que la cendre ou le bois brûlé. Il ne travaille plus sur la nature mais littéralement avec elle. Il en résulte des œuvres singulières : d’une grande économie de moyens, elles font des arbres autant d’idéogrammes secrets, que leur beauté rend désirable jusque dans la menace même de leur disparition.
EXPOSITION À VENIR
29 juin – 13 oct 2024
JEAN HUGO « ENTRE CIEL ET TERRE »
Jean Hugo demeure 40 ans après sa disparition un artiste majeur et singulier. Afin de présenter une vision la plus complète possible de son œuvre, les musées Paul Valéry, Fabre et Médard se sont associés pour que l’hommage prenne la forme de trois volets, présentés simultanément à Sète, Montpellier et Lunel, dans l’esprit de complémentarité initié par la candidature commune au label de capitale européenne de la culture pour 2028.
À Sète, l’exposition « Jean Hugo, entre ciel et terre » a pour projet de montrer, à travers plus d’une centaine d’œuvres – peintures, dessins, livres illustrés, objets d’art – un important ensemble d’œuvres dominé par la question du paysage, que la représentation de la nature est pour Jean Hugo autant une célébration de l’ordre du monde dans son apparence qu’une volonté de faire ressentir ce qui l’anime.
Le parcours de visite sera complété par un focus consacré au groupe Montpellier-Sète, bien représenté dans les collections du musée, avec lequel Jean Hugo avait partagé les murs d’expositions importantes et un autre dédié à Vincent Bioulès, avec qui Hugo entretenait des liens forts d’amitié.
Jean Hugo, Plantation d’une vigne, 1957. Huile sur contreplaqué. Musée des Beaux-Arts, Nîmes. © Florent Gardin
Les visites commentées au musée
Retrouvez les horaires des visites commentées dans notre rubrique « informations » en cliquant sur l’image.
Quelques règles à suivre pour une visite harmonieuse.