LES SOIRÉES DU MUSÉE

Ciné-Musée 

Mardi 10 octobre – 18h00 

JEAN VILAR, 

LE RÊVE DU THÉÂTRE POUR TOUS 

En présence de la réalisatrice Sandra Paugam

Pour qui est-ce que je joue ? A partir de cette question essentielle posée par Jean Vilar à l’attention de tous les hommes ou femmes de théâtre, le documentaire retrace son parcours et interroge l’héritage du créateur du festival d’Avignon et directeur du TNP disparu il y a 50 ans.Grâce à de nombreuses images d’archives et aux interventions de Jean Bellorini, Emmanuelle Loyer, Olivier Py, Robin Renucci et Eric Ruf, le film retrace l’engagement de Jean Vilar pour le « théâtre populaire » et montre comment il a révolutionné l’accueil du public et posé les prémices de notre politique culturelle.En contrepoint, les expériences du Nouveau Théâtre Populaire ou de la compagnie éphémère du TNP de Villeurbanne permettent de mesurer la modernité et la persistance de la pensée de Jean Vilar tout en amenant vie et poésie au film.

Un film écrit et réalisé par Sandra Paugam

Produit par Fabienne Servan Schreiber et Laurence Miler

52 min. – Cinétévé – 2021

 

 

 

 

 

 

Les Journées Paul Valéry
10e édition
Sète

25-26-27 septembre 2020

Valéry
Poésie perdue, poésie retrouvée
Sous le haut-patronage de l’Académie française avec le partenariat des éditions FATA MORGANA
Consacrée à la poésie de Paul Valéry, cette 10e édition des Journées propose une redécouverte du poète dont l’œuvre passe souvent derrière la haute stature du penseur.

Les deux chefs-d’œuvre incontestables que sont La Jeune Parque, publiée en 1917, et Le Cimetière marin, dont nous célébrons le centenaire, sont loués avant tout pour leur perfection formelle. Associant le penseur et le « classique », la figure de Valéry correspond encore à la caricature du « poète de l’intellect », froid raisonneur qui s’efforce d’exercer son esprit à connaître « ce que peut un homme », dans le domaine de l’art comme dans les autres. Or l’écriture poétique chez Valéry, comme d’ailleurs sa réception, est toute traversée d’intermittences, fluctuations où la poésie se perd pour réapparaître comme une résurgence.

Retour au musée avec TOPOLINO

Depuis le 30 mai 2020, date de la réouverture du Musée après le premier confinement, l’artiste sétois Topolino a accompagné le retour des visiteurs à travers de nombreux dessins et aquarelles saisis sur  le vif dans les salles, ainsi que lors des différentes manifestations proposées au public.

Durant la deuxième fermeture des musées intervenue le 30 octobre, Topolino a continué de  représenter les actions proposées au public lors de rendez-vous vidéo quotidiens diffusés sur la  chaîne YouTube du Musée, telles que Regard sur une œuvre,  ou Regards en écho, qui a accueilli  plusieurs artistes invités à livrer leur propre regard sur une œuvre choisie par eux dans les collections, ou bien encore pour une Nuit des Musées autrement ... qui a réuni sur YouTube poètes, comédiens et  musiciens autour des collections.

L’œuvre collective réalisée par les visiteurs lors de la réouverture du Musée après le premier  confinement est présentée dans l’exposition. Sur une esquisse murale grand format de Topolino,  nombreux ont été ceux qui, de mai à septembre, ont exprimé avec des mots ou un dessin leur  ressenti pendant le confinement et lors de leur retour au Musée.

Topolino travaille sur le vif principalement à l’encre et à l’aquarelle, sans dessin préparatoire ni  repentir. Depuis le mois de mai, rien n’a échappé à son regard dans lequel se reflète toute l’activité du Musée au quotidien. Près de 80 aquarelles réalisées durant cette période ont été ici réunies..