DÉCROCHAGE/ACCROCHAGE
Jusqu’au 14 déc 2024
Le musée est ouvert pendant les travaux et les collections restent accessibles.
EXPOSITION À VENIR
Du 14 déc 2024 au 2 mars 2025
« NAZANIN POUYANDEH / BRIGITTE AUBIGNAC »
Le Musée Paul Valéry de Sète propose à ses visiteurs pour l’hiver 2024 de découvrir, au travers de deux nouvelles expositions temporaires, les univers distincts de deux femmes artistes vivant en France et qui ont pour principaux points communs la peinture et la figuration : Nazanin Pouyandeh et Brigitte Aubignac. Ici mises « en regard » par leur concomitance, les expositions respectives de ces deux femmes peintres, de générations et parcours différents, sont toutes deux traversées par des questionnements tels que « le masculin-féminin » et la place de « la peinture dans la peinture ».
LECTURES
Dimanche 15 décembre à 15h – POÉSIE LIBRE
Lecture à voix haute des poèmes de Michel Zoom par Laurence Vielle et Jacques Bonnaffé.
Jeudi 19 décembre à 18h – L’ORAL ET HARDI et LA CUISINE CRAPULEUSE
Lecture à voix haute des poèmes de Jean-Pierre verheggen et des recettes de Robert Combas par Laurence Vielle et Jacques Bonnaffé.
Entrée Libre – Dans la limite des places disponibles.
EXPOSITION
Du 5 oct au 29 déc 2024
CLAUDIE DADU – Du corps au langage
« PAS VU CE QUE NOUS VOYONS »
2015 – Cheveux sous verre – 450 cm x 150 cm
Cette vaste composition de dessins en cheveux représente des mains dans des positions de la Langue Des Signes « dé-écrivant » ce fragment de phrase extrait d’une citation de Paul Valéry « Une œuvre d’art devrait toujours nous apprendre que nous n’avions pas vu ce que nous voyons ». L’universalité de cette phrase rejoint ainsi la particularité du travail de Claudie Dadu à n’être perceptible qu’à une certaine distance. Avec une extrême économie de moyens, Claudie Dadu dessine en utilisant un résidu corporel détachable – le cheveu mort – qu’elle associe à une vivacité graphique. A travers son dispositif, il devient élément de rattachement, de ralliement à la vie, un lien poétique. Cette ligne organique opère et incarne le lien concernant un discours avec et sur le corps : enjeu social, politique et esthétique. Le tracé sécrété avec la finesse et la légèreté du cheveu renvoie ici, non sans humour et sensualité, à l’état de suspension dû à la fragilité de la vie charnelle. Ses représentations graphiques, organiques et spatiales s’articulent, de façon unique et décalée, du corps au langage.
Les collections
Les expositions à venir
Les soirées du musée
Les amis du musée
Le club des mécènes
Quelques règles à suivre pour une visite harmonieuse.